Note (*) de MM. Maurice Gidon, Jean-Louis Pairis et Jean Aprahamian, transmise par M. Léon Moret.
La zone de fractures subméridiennes d'Aspres-les-Corps a joué d'abord en coulissement sénestre dès le Nummulitique et ultérieurement dans le sens dextre avec un rejet déca-kilométrique, en association avec des chevauchements vers l'Ouest. Elle peut être considérée comme le secteur d'enracinement septentrional du chevauchement de Digne, qui coïncide dès lors avec l`accident séparant le massif cristallin du Pelvoux de ceux des Grandes Rousses, du Rochail et du Taillefer.